Je reviens chez Azur léger avec ce Théorique en poche ! ( ça va me couter un apéro d’ailleurs cette histoire 😀 ) Il n’y a pas de R22 aujourd’hui donc on part sur 44 avec Bastien. Il me demande de préparer une Nav vers Corlier, une petite piste en haut des montagnes, pas facile à voir, ni à integrer. Je prévois de passer par Pérouges, Amberieux et hop on est arrive.
(On voit bien sur la carte : le trait noir : la trajectoire que j’ai prévue. Sur la gauche ou il est écrit Bron près d’un cercle bleu, c’est mon Aéroport avec sa zone de controle materialisé par le prolygone avec un trait bleu épais. Juste à sa droite on voit le Gros aéroport de St Exupéry avec sa fameuse zone que je dois demander pour rentrer dedans et pour sortir. Juste sur la droite les deux gros cerles rouges sont les deux centrales nucléaire, celle de gauche du Bugey)
Il m’a demandé de faire comme si c’était un vrai vol de transport passager, il serait mon passager. Je mets le carburant, j’annonce notre vol et la mise en route. Je galère un peu d’ailleurs car le démarrage n’est pas comme sur le R22 ou on tourne la clé et hop. La il y a un démarreur et il faut appuyer sur la ” seringue” de richesse, qui est fermée, pile au bon moment pour l’ouvrir et laisser arriver la carburant, en gros :/ bon je m’y suis repris à trois reprises. Pour la mise en stationnaire, je faisais bien attention et quand j’ai tiré le collectif pour m’arracher du sol, je suis monté de deux mètres d’un coup, et oui beaucoup plus de puissance que sur le 22 ! En plus avec les commandes assistées par l’hydraulique tout et doux et fluide, ca fait bizzare, bon j’ai repris la machine en quelques secondes, mais ça fait bizarre qd même. Aller on décolle direction Pérouge, D’ailleurs je m’alligne taxiway face au nord alors que la tour venait de me dire face au sud…le con, j’ai remarqué tout de suite donc je me suis alligné comme il fallait et j’ai décollé du bon côté, qd mêmem pas contre QFU tout le temps :/ on sort par le grand Large, je n’anticipe pas assez mes radios avec St Ex, mais là ça allait car le controlleur n’était aps surchargé. J’ai dit à Bastien qu’il y avait pas mal de vent, or j’avais regardé la météo et il y avait de turbulence au dessus de 4000 pieds…. Et non boulay ! cétait de la surface jusqu’à 4000 pieds, donc on était en plein dedans ! On passe Pérouges, je fais bien mes radios, on arrive à Amberieux, RAS, je remarqe qu’il ya des éoliennes droit devant moi, du coup je ne sais pas si Corlier sera avant ou après car elles sont plus récentes que ma carte. D’ailleurs j’ai un peu peur de passer trop près. Sinon j’avais bien regardé ma montre pour estimer les heures d’arriver et je devais arriver à 12H pile, donc j’ai pu voir l’AD juste à ma droite, devant un éolienne. Bon je me suis dit que j’allais m’éloigner pour me mettre dans le circuit mais j’étais arrivé pas comme j’avais prévus donc je suis parti pour pouvoir tourner sans entrer en conflit avec l’éolienne, puis je suis passé vertical, la manche à air semblait bien gonflée et tourner dans tous les sens.. Signe de vent fort et changeant, Bastien m’a demandé ma décision pour l’atterro, j’ai dit banco…lui à dit niet, trop dangeureu ce vent, la piste est entourée d’arbres donc pas terrible. En plus je l’avais vu sur la météo le matin mais j’avais mal interprété, heureusement Bastou était sur le coup ! Il me déroute donc à Morestel. Je prends ma carte et vois que c’est plein sud et qu’il va falloir slalommer entre les deux zones des centrales nucleaires… Donc sans GPS il faut faire bien gaffe pour ne pas entrer car c’est une infraction avec des sanctions pouvant aller à la suspension de la licence de vol ! Avec les turbulences Bastien me conseille de partir de la zone montagneuse, donc je redescend vers Amberieux puis prends plein sud. De cette manière j’arrive à savoir quelle est la grosse centrale nucleaire du Bugey et que je dois passer à sa gauche. Je me reprère gràace à la rivière qui fait une sorte de U invrsé puis repère la route qui passe entre les deux pour ne pas empieter la zone interdite. J’arrive sans encombres à Morestel, de la j’avais sorti ma VAC, mais j’ai eu du mal à schematiser dans ma tête le sens du vent, le circuit de piste qui en découlait etc donc j’ai encore fait une intégration de merde, mes trois dernières avec Bastien d’ailleurs :/ Bref j’arrive en finale et Bim panne d’hydro, donc les commandes super dures, il faut arriver avec de la vitesse et se poser en glissant au sol sur les patins, je la foire bien comme il faut, heureusement que Bastien est là ! Il me dit de redecoller mais vent de cul, donc contre QFU, ma spécialité, Il faut plus de distance car le vent nous porte, j’avais choisi un décollage standard mais la piste pouvait paraitre un peu courte donc j’ai fait un oblique leger. RAS. Je nous ramène à Bron je dois de nouvau faire attention à la zone de la centrale nucleaire, je m’annonce à St Ex et il me demande de croiser les axes au nord des pistes. Encore une fois je tarde un peu pour parler à la radio mais heureusment que le controlleur était taquet ! On arrive à Bron, je choisi de m’éloigner un peu car je veux avoir le temps de ne pas faire une intégration pourrie encore :/ Il y a deux avions en cours d’atterrissage donc le controleur nous demande de maintenir 2000 pieds, je fini par voir le second et averti la tour, elle me dit que je peux, dans ce cas, atterrir et je suis autorisé. Forcement, en ayant gardé 2000 pieds au leiu de 1500 , je me retrouve super haut, j’avais demandé la taxiway face au sud, j’ai commencé à faire des S pour perdre de l’altitude mais Bastien m’a dit que cela ne se faisait pas en finale si on est pas en autorot’, donc j’ai du demander à la tour de Faire le H . Atterro de précision pas trop mal, avec le vent j’ai tendance à me focaliser sur la vitesse air et du coup, comme le vent est de face le défilement sol est lent. Je fini pile sur le H, aller on translate sur le parking Azur, RAS, posé un peu dur toute fois. Vol en demie teinte, intégrations mauvaises, anticipation mauvaise, des réponse de ma part à la radio pas pro,, il y a encore du boulot pour être présentable à l’examen final et plus que 60 heures !